Un mot sur le film :
« Les Palestiniens n’oublient rien. Le plus précieux, c’est leur mémoire », annonce le réalisateur Piero Usberti. Le jeune réalisateur, âgé de 25 ans, a passé trois mois aux côtés de la population de Gaza. Il raconte la pauvreté, la détresse, la vie sans eau ni électricité pendant des heures. Les images datent d’avant le 7 octobre et les contre-attaques israéliennes : nous sommes au printemps 2018, et il tombe dans ce monde clos, mais où de jeunes Palestiniens et Palestiniennes continuent à lutter et à espérer un monde meilleur.